comment s'amuser avec du fil….
Un autre cadeau fait maison.
La portée est réalisée avec différentes techniques : triple piqûre machine pour faire les lignes, peinture pour la clef de sol, application en polaire pour le corps des notes et broderie à la main pour les tiges des notes (je sais pas si ça s’appelle comme ça, je suis fin nulle en solfège).
Trousse incorporée à l’intérieur (mais que je trouve trop basse…)
Il est en jeans rayé pour l’extérieur et popeline pour la doublure.
In extremis (j’ai cousu les pressions sous les boutons dans la voiture en allant réveillonner), mais exactement comme j’espérais qu’elle serait.
La jupe est faite d’un jupon en tissu-doublure et d’une surjupe en voile parsemé de petites étoiles dorées en relief trouvé à Mon*dialTissus, comme la pane de velours de la robe.
Et bien sûr, elle tourne!
Détail du col, que trouve bien mieux réussi que sur la robe d’essai. Je l’ai fait 2 cm plus large et cousu « en décalé » : le bord du dessus un peu moins large que celui du dessous.
Détail aussi des boutons, envoyés par la talentueuse __L__, dans le cadre d’un échange (comme elle fait la cachottière, je la fais aussi, tout sera dévoilé en même temps).
Elle en a fait de plusieurs violets-violine, et ceux-là s’accordent à merveille avec la surjupe.
D’ailleurs en parlant de boutons et d’échanges, les boutons faits par __L__ (à qui j’ai piqué les photos, mon ordi ne reconnait plus le périphérique de l’apn pour l’instant, j’espère que ce n’est que passager).
J’ai hâte de me servir des autres, c’est vraiment bien, les boutons en fimo!
Dès que je l’ai vue, ici, via La bobine, j’ai eu envie de lui faire. J’ai donc acheté le Burda de décembre dans la foulée (j’ai profité d’une visite impromptue chez le docteur) et me suis mise à cogiter.
Celle-ci c’est le « modèle d’essai », dans une panne de velours rose qu’elle aime bien.
Les poignets
Encore une robe qui tourne!
La prochaine sera dans une panne de velours d’une autre qualité, et sans les coutures surjetées et surpiquées.
Et je ferai le col plus large, pour qu’il retombe bien, une fois froncé.
Elle l’a mise dès que je l’ai terminée, ma tifille, et elle veut la mettre à l’école demain 🙂
J’en avais fait un, et c’est tellement simple et rapide à faire que je me suis un peu emballée, j’en ai fait et refait (3 rien qu’hier soir : le rouge foncé et les 2 roses)
Le rouge vif elle aime pas, ma tifille, il est pas assez large…
Le rose en panne de velours était dans une pochette du calendrier de l’Avent ce matin, adopté tout de suite 🙂
Il ira avec la robe que je suis en train de lui faire (presque finie)
Ca faisait (ah, comme j’aime l’emploi de l’imparfait!) des années que je voulais reprendre et modifier le patron d’un de mes hauts, que je mets très rarement pour cause de manches 3/4, donc trop chaud quand il fait beau, mais trop léger des avants-bras quand il fait froid.
Deux devant-dos avec une manche…
A porter comme ça
Ou comme ça!
Et en plus, c’est même pas un patron japonais.
Tiens, en parlant de patron japonais….
Ma dernière jupe.
Elle l’a fait!
Vous le verrez ici, il est en vente pour le Téléthon. Les enchères sont ouvertes!
Ce n’est pas notre premier échange, et j’aime toujours autant.
Pour cette fois, elle savait exactement ce qu’elle voulait comme sac, patron et tissu.
OK, no problémo, un sac de voyage, donc, dans ce tissu spécial qu’elle affectionne particulièrement.
Une première pour moi, les boucles pour fixer les bandoulières. Fastoche, à vrai dire.
Mais j’ai quand même magouillé le modèle en posant une fermeture 10 cm plus grande, pour le confort, et en élargissant la bande entre les 2 faces du sac : de 6 ou 7 cm (ridicule comme largeur), elle est passée à 13, bien plus pratique pour ranger quelques affaires
J’ai centré les faces du sac sur des motifs différents, comme ça elle pourra choisir.
Ici le sac tenu : c’est plutôt un sac de week-end (appellation dans « sacs de filles » : grand sac de voyage!)
En échange, la Fée Violette m’a concocté une crème pour le visage (la même qu’elle m’avait déjà faite, un pur bohneur), une autre pour mon fiston, une autre pour ma tifille (son nom, que j’adore : petite fée bien sage :-)), une crème pour les mains, et des savons.
Hummmmm!!!!!!!
Sinon, pas de photo d’autres réalisations, je suis en pleine fabrication de cadeaux…
japonaise… 
Un modèle ultra simple et rapide à réaliser. La prochaine, je crois que je la ferai avec 2 tissus différents pour le devant et le dos.
Et la robe de lutine enfin terminée et portée.
C’est bien beau de faire un calendrier de l’Avent, mais après faut remplir toutes les petites pochettes! Ici on les remplit les unes après les autres, déjà parce qu’on n’a pas toutes les surprises en stocks, que même des fois elles sont terminées pas très longtemps avant d’être découvertes, alors.
Sa 2e surprise : des ballerines argentées (patron japonais, merci Kitou), terminées très très tôt le matin du 2.
Le hic, elles sont beaucoup trop justes et le tissu argenté est assez métallique et s’effiloche à mort, il n’a pas résisté à la pression. Du coup il y avait un trou au bout de chacune d’elle à la fin de la journée 🙁
Mais très franc succès, je les referai plus grandes.
Pour éviter les dérapages, j’ai fait les semelles en tissu imperméable, un peu comme du caoutchouc. Ca marche!!! Mais je ne sais pas encore si ça tient bien dans le temps.
Elles sont bien sûr doublées, et j’ai mis de la ouatine entre la semelle et la doublure (non Kitou, tu ne rêves pas, j’ai bien mis de la ouatine, et encore pire, 2 épaisseurs dans chaque chausson!).
Pour ce matin, un bandeau (patron piqué sur celui d’une de ses copines).
Elle adore aussi.
C’est vraiment très rapide à faire, je vais en faire une série. Peut-être un peu moins larges…
Et j’ai enfin trouvé le courage de terminer son pyj, commencé il y a bien longtemps.
Elle dort avec en ce moment 🙂
J’ai tenu in extremis la résolution que j’avais prise l’année dernière à cette même date : faire un calendrier de « l’avance » (dixit ma libellule).
Nous sommes le 1er décembre, il est terminé! J’ai même le 1er petit présent à mettre dans la 1ère pochette : des pinces à cheveux en coccinelles.
Au début j’avais une idée en tête, inspirée d’un de ceux qu’elle a faits : des pochettes de tissus différents, imprimés et unis, pour former une guirlande (verticale, chez moi).
En coupant le tissu rouge, l’idée m’est venue de pochettes rouges avec les chiffres appliqués en tissus imprimés. J’ai fait un essai que je trouvais bof.
Et c’est là que j’ai miraculeusement retrouvé (j’ai cherché au moins 10 bonnes minutes) ma peinture textile dorée (et même l’argentée, la rouge, la jaune, etc.). Et là plus de tergiversation possible (vu l’heure aussi : minuit 1/2) : j’ai décidé de peindre tous les chiffres.
Les bandes de soutien des pochettes sont coupées dans une autre chute de tissu (merci ma soeur pour le conseil)
Et pour une première à main levée, je trouve que j’ai bien assuré, niveau peinture 😉
Cet aprem, ma doudouce devait participer à un congrès de lutins de Noël (tous en rouge et blanc, donc), chargés de faire quelques bricolages et gâteaux. Comme elle se remet d’une gastro, elle reste plutôt tranquillement au chaud à la maison.
Mais j’avais déjà fait sa robe (et la même pour sa copine), il ne me restait plus qu’à garnir l’encolure. Tant pis, ça lui fera juste une robe rouge…
