Et bien, chantez maintenant!

Après la fête orange, la fête sur le thème de la musique…
Pour ma fille, j’ai tout de suite pensé à une robe piano, je pensais faire les touches en bas de la robe, mais entre-temps j’ai vu ma bs qui m’a proposé une autre version, celle que j’ai faite au final (la prochaine, pour wam,  avec les touches en bas).

Même patron perso que pour cette robe.

Sans les ourlets 



portée


Donc je voulais me faire la robe assortie, jusqu’à ce que choisisse une autre idée… Une copine m’a prêté une de ses tuniques, et je suis partie de cette base, en la modifiant pour en faire une tunique-accordéon.
Les petits plis du dos sont maintenus par une couture verticale (enfin, plus ou moins…)

Et vite fait avant la fête, une D revisitée, pour une fleur parmi les fleurs 😉 (private joke)
J’ai juste posé le patron sur le tissu, à quelques cm de la pliure, et comme l’encolure et la tunique étaient trop larges, j’ai fait un pli creux cousu sur environ 25 cm.


J’étais aussi chargée de faire la boîte à enveloppes. J’ai bénéficié d’une aide hautement appréciable (et appréciée!) sur ce coup-la. L’idée d’un bandonéon lui est venue tout de suite, et c’est elle qui a magouillé les photos trouvées sur le net pour les mettre aux dimensions de la boîte, et fait en sorte que tout raccorde.
Je trouve le résultat bluffant!


Et la carte-carnet où chacun a pu mettre un mot.
La couverture avec la partition qui va bien
et les pages intérieures en papier musique
J’en ai fait une autre, de boîte, mais j’ai complètement oublié de la prendre en photo…

Lingettes lavables, le retour du retour

Les lingettes lavables, c’est un peu comme les chaussettes : petit-à-petit, elles disparaissent mystérieusement….
J’en ai donc refait une petite fournée, et comme ça fait au moins 5 ans qu’on en utilise, je sais exactement lesquelles tout le monde préfère à la maison : une face coton moletonné (flanelle?), une face velours éponge.
Au début j’en faisais avec une face en polaire, pour le démaquillage, mais depuis, la lecture du blog de Sonia  a changé ma vie (enfin, une partie de ma vie) : grâce à elle je sais que le meilleur démaquillage se fait du bout des doigts (avec massage si affinités) à l’huile grasse + un savonnage doux derrière (et le reste du millefeuille of course).
CQFD, plus besoin de face polaire.
Cette fois-ci j’ai fait des tailles différentes : les roses choupinettes sont pour ma Choupinette, qui m’en a demandé des plus grandes (on se demande bien pourquoi, c’est elle qui a le plus petit visage…).
Le velours éponge rouge provient d’un pyj trop petit et encore tout doux, le blanc de je ne sais plus où, le molleton à carreaux de chez MT, celui avec les lapins d’une commande sur le net et celui avec les petites roses est un cadeau.
Les lingettes à carreaux roses et blancs sont déjà testées : un vrai bonheur!

Potholters!

J’en ai assez rêvé en regardant les oeuvres des granny maniaques. Avec quelques restes de coton, mes 2 premiers potholters (des maniques, quoi). Je ne sais plus avec quel tuto, mais c’est simplissime à faire.
La première, recto-verso

Et la deuxième, une sorte de fingership. Une amie m’en avait offert un, qu’elle a cousu, que j’adore et que j’utilise tout le temps et j’avais envie d’essayer au crochet. 
Alors quand j’ai vu le tuto du Double-thick Diagonally Crocheted Potholder, je l’ai adapté vite fait.
Mais même avec un coton assez épais, il faut une doublure. Que je ferai bientôt…
en situation
Un peu petit pour moi, mais il va parfaitement à la main de ma fille.

Pour l’instant sur mon crochet, un Eva’s shawl comme chez Barjolaine (qui fait des trucs trop beaux!).

PS. Une magnifique écharpe à gagner chez Ninoun, pour fêter ses anniv (le sien et celui de son blog)!

Inspiration Matisse

Pour la plus belle salle de bains du monde, des tapis imperméabilisés dans la doublure.
Les vieux tapis étaient trop moches pour notre belle nouvelle salle de bains, et une idée me trottait dans la tête depuis un bail. Après quelques cogitations obligatoires, j’ai enfin trouvé comment combiner tout ça avec les couleurs que j’avais en stock.
Cahier des charges : des tapis qui me plaisent, imperméables au sol et un peu épais.
– les couleurs de tissus : ok. Pas de blanc, trop salissant pour des tapis.
– les couleurs de polaires pour les « fleurs-algues » tarabiscotées : ok
– du tissu imperméable pour la doublure : ok
– de la toile épaisse pour le dessous : ok
– de la ouatine pour le confort : ok, mais changée pour du molleton, pour cause de lavage à 40°. Et coup de bol, une alèse molletonnée m’attendait bien sagement dans mon armoire.
– un graphisme simple, avec peu de pièces à appliquer, et qui me plaise :ça tombe bien, Matisse a fait des collages que j’adore.

Après quelques heures d’amusement :

La nageuse, l’original
ma version
 Le lagon, l’original

ma version
 Les fonds sont cousus comme un patchwork, les formes appliqués au point bourdon, sauf les « fleurs-algues » au point droit (vive le polaire!). 
Les couleurs sont plus vives en réalité.

Ils me plaisent beaucoup, même si les appliqués ne sont pas nickel-nickel.

Esprit de Noël, es-tu là?

J’ai tenu in extremis la résolution que j’avais prise l’année dernière à cette même date : faire un calendrier de « l’avance » (dixit ma libellule).
Nous sommes le 1er décembre, il est terminé! J’ai même le 1er petit présent à mettre dans la 1ère pochette : des pinces à cheveux en coccinelles.

Au début j’avais une idée en tête, inspirée d’un de ceux qu’elle a faits : des pochettes de tissus différents, imprimés et unis, pour former une guirlande (verticale, chez moi).
En coupant le tissu rouge, l’idée m’est venue de pochettes rouges avec les chiffres appliqués en tissus imprimés. J’ai fait un essai que je trouvais bof.
Et c’est là que j’ai miraculeusement retrouvé (j’ai cherché au moins 10 bonnes minutes) ma peinture textile dorée (et même l’argentée, la rouge, la jaune, etc.). Et là plus de tergiversation possible (vu l’heure aussi : minuit 1/2) : j’ai décidé de peindre tous les chiffres.
Les bandes de soutien des pochettes sont coupées dans une autre chute de tissu (merci ma soeur pour le conseil)


Et pour une première à main levée, je trouve que j’ai bien assuré, niveau peinture 😉

Cet aprem, ma doudouce devait participer à un congrès de lutins de Noël (tous en rouge et blanc, donc), chargés de faire quelques bricolages et gâteaux. Comme elle se remet d’une gastro, elle reste plutôt tranquillement au chaud à la maison.
Mais j’avais déjà fait sa robe (et la même pour sa copine), il ne me restait plus qu’à garnir l’encolure. Tant pis, ça lui fera juste une robe rouge…

Patchwork again

Le premier patchwork que j’ai fait, qui nous représente, mes soeurs, mes frères et moi (devinez où je suis ;-)). J’ai beaucoup aimé le faire.
Il est de petite taille (20 – 25 cm). Il a été scanné, ce qui explique l' »écrasement ».



J’ai reçu le questionnaire de ma matriochka pal, je cogite encore, même si j’ai ma petite idée 😉

Par contre, pour celle qui va me faire une matriochka, j’ai oublié de préciser dans mon questionnaire : pas de point de croix, stp, j’aime pas très.

Patchwork

J’ai fait ce patchwork il y a quelques années, en cadeau de Noël à quelqu’un qui m’est très cher.
J’ai déjà beaucoup galéré pour choisir les motifs (je suis du genre très indécise, c’est presque un handicap ;-)), ensuite les couleurs, etc.


Un matelassage fleurs autour des fleurs centrales.
Chaque côté avec la même fleur de différentes couleurs, et le matelassage coeur.


J’en suis très fière, même si je n’ai jamais recommencé (quel boulot c’était!).

Une deuxième jeunesse

Je n’ai toujours pas d’ apn, mais j’avais fait quelques photos de 4 chaises et d’une table rajeunies après un peu de bricolage, quelques coups de pinceaux et un peu de couture.

Il y a quelques années, j’ai récupéré des chaises cannées, dont le cannage de l’assise était complètement pété, mais tout le reste complètement solide.
Mon mari chéri a enlevé le cannage foutu et son cadre et les a remplacé par une planche aux mesures du trou.
J’ai repeint les chaises en jaune vanille, punaisé un coussin plat sur chaque chaise et cousu des housses d’assise.
Ces housses sont parfaitement maintenues par des liens (biais cousu sur la longueur, de couleurs différentes : j’ai fait tous mes fonds de biais de couleurs assorties au tissu) : il en faut 2 sur chaque côté devant et 4 sur chaque côté dos (un petit noeud à l’intérieur et un autre à l’extérieurde la chaise = housses qui tiennent très bien en place).

Elles sont (presque) comme neuves, tout comme la table en pin (cadeau d’une copine) poncée et lasurée en bleu turquoise.

Pour faire ces housses, j’ai soigneusement relevé le patron d’un dessus de chaise sur du papier de journal (il faut que ce soit très précis pour que la housse soit parfaitement ajustée) et cousu des bandes tout autour, de la hauteur des côtés.
Et j’ai cousu les liens aux endroits stratégiques pour les nouer autour des pattes.
Pour une bonne tenue des liens, il est impératif de choisir une matière non soyeuse. Les biais ont aussi l’avantage de bien se nouer car ils ont une petite élasticité.

Penser aussi à bien garder le patron définitif, pour pouvoir refaire un jeu de housses quand l’envie vous en prend, le patronage étant assez fastidieux.